24 décembre 2009

bonne année.




J'espère que vous avez passé de très joyeuses fêtes de fin d'année
et un





L'année est à présent terminée.
Je vous adresse à toutes et à tous une excellent année 2010 et beaucoup de bonheur à vous à tous votre entourage.


pour les belles lectures que vous me donnez l'occasion de lire sur vos blogs. Merci aussi pour vos visites et pour les gentils commentaires que vous m'avez laissés.


Je vous invite à partager cette flamme de l'amitié entre nous.

16 décembre 2009

THE BEATLES SYMPHONIE

Hier nous avons eu l'extrême plaisir d'assister à un concert que nous ne sommes pas près d'oublier.


Habitant la région de Lyon nous avons de nombreuses occasion de sortir . Et ce 14 décembre l'actualité musicale Lyonnaise nous a gâté. Un vrais cadeaux de Noël.



Nous connaissions depuis quelques années le dynamique et jeune, on peut le dire, chef d'orchestre Philippe Fournier diplômé de l’Ecole Normale Supérieure de Musique de Paris en 1984. Lauréat de la fondation Yehudi Menuhin, il est le fondateur ainsi que le directeur artistique de l’Orchestre Symphonique Lyonnais depuis 1985. Proche du monde de l’entreprise, il a développé des réflexions originales mettant en parallèle son métier de chef d’orchestre et le métier de chef d’entreprise.

Son originalité réside dans la possibilité qu’a l’auditeur de se déconnecter de son contexte habituel, l’entreprise, et de le faire réagir sur un environnement inconnu ou presque, en l’occurrence la musique. Philippe Fournier intervient régulièrement à l’occasion de séminaires, d’assemblées générales, de conventions, devant des publics allant de 10 à 2000 personnes.


Il est je crois, un des premiers chefs classique à expliquer la musique au profane, et celà bien avant celui qu'on voit à la télévision et dont j'ai oublié le nom. Un des rares à faire participer le spectateur. Il bénéficie d'une véritable "côte", une sorte de vénération.



Hier, à l'amphithéâtre de la Cité, il nous dispensait une soirée dédiée aux beatles. Au Programme la "Beatle symphonie" où nous retrouvions une bonne trentaine de morceaux qui ont bercé (si l'on peut dire) notre jeunesse.

Inutile de vous dire que les arrangements de leur manger George Martin, "ne faisaient pas dans la dentelle" avec l'O.S.L. Il faut dire qu'à ses côtés se trouvaient une formation qui a fait ses preuves. J'ai nommé LES DEFOSSES.

Ne cherchez pas dans le dictionnaire. Ils ont eux même trouvé ce nom en sortant de la fosse d'orchestre où ils se produisaient et se produisent encore, je crois.
Pendant que Gaêl, Guitare et chant, se démène et encourage la foule à les suivre dans le sillage du "Yellow submarine"


un Henri-Charles maîtrise la batterie comme ne l'aurait jamais fait ce pauvre RINGO STARR. Ses solos sont dignes de ceux des "Iron buttelfly".
Frédérique aux percutions reproduit à s'y méprendre l'atmosphère so british de l'époque sixties (carillons).




François nous glaçe le sang
avec sa guitare dans des trémolos de haut vol à faire pâlir Marck Knoppfler.


Sans oublier la trop discrète Martine au clavier qui mériterait un vrai solo dans let it be.



Ho!! j'allais oublier Pierre-Alain guitare basse et Cor - Pascal et Philippe à la trompette Eric au trombonne et Jean-Philippe au cor.

j'ai essayé de recenser les morceaux qui ont été joués, le terme est faible.


Help!
Michelle
Let It Be
Get Back
Hey Jude
Blackbird,
Day Tripper
Penny Lane
Ticket to Ride
Eleanor Rigby
Lady Madonna
Come Together
Don't Let Me Dow
Back in the U.S.S.R.
The Fool on the Hill
Ob-La-Di, Ob-La-Da
All You Need Is Love
When I'm Sixty-Four
Across the Universee
Magical Mystery Tourn,
Strawberry Fields Forever
The Long and Winding Road
While My Guitar Gently Weeps,
With a Little Help from My Friends
With a Little Help from My Friends

J'en oublie certainement beaucoup.

J'ai plains un long moment les instrumentistes. Le public Lyonnais d'habitude si enthousiaste a mis une éternité à se dégeler malgré les appels désespérés de Philippe Fournier et des Defossés. Je participais de mon mieux à recréer l'ambiance avec quelques autres disséminés dans la foule mais mes sifflets d'encouragement semblaient outrer mes voisins.

Pensez!!!! mener un tel ramdam dans un temple du classique!!!! vers la fin de la soirée , à la faveur d'un "day tripper" Ottis-readding-esque ca bougeait enfin un peu et il fallut un "Dont let me down" fort langoureux pour que quelques couples descendent de leurs sièges pour s'enlacer sur la piste annulaire de l'amphithéâtre.

Mais pour moi ça n'était pas encore ça. Mais qu'importe! c'était Noël pour tout le monde avant l'heure et nous eûmes droit à quatre retour sur scènes. C'était.............je ne trouve pas le terme. Beaucoup trop d'émotion m'empêche de coller une étiquette à ce spectacle.

Merci l'O.S.L. Merci Philippe - Merci les Défossés. On vous aime décidement beaucoup.

09 décembre 2009

Fête des lumières à LYON.

Cette année comme depuis quelques années nous n'avons pas souhaité nous rendre à la Fête des lumières à LYON. La photo suivante a été prise l'an dernier (juste une incurtion de quelques minutes pour entrevoir ma nièce de passage, la pauvre) avec mon portable.


L'abbatiale saint jean le soir de la fête des lumières.

Cette fête religieuse consacrée à la vierge Marie qui a été accaparée par les "marchands du temple" attire beaucoup trop de monde dans notre capitale Gauloise. Dans certains quartiers ça frôle la gay pride ou la fête de la musique. On imite même parfois le festival du théâtre de rue d'Aurillac. Notre bonne ville en cette période est littéralement envahie par une foule cosmopolite qui piétine dans les rues et les traboules de la presqu'île et du vieux quartier Sain-Jean. Ne pensez même pas avoir une place dans un restaurant du quartier sans réservation.


Lorsque je dis "foule" vous ne pouvez vous représenter quelle peut être la densité d'êtres humains par mètre carré. Dans la plus part de nos rues, vous devez piétiner un quart d'heure pour faire dix mètres, parfois moins.

La ville est bouclée dès le début de l'après midi par les forces de police qui ne laissent pénétrer quiconque sans "laisser passer dûment accrédité par une autorité habilitée à délivrer ce sauf conduit précieux".



L'Hôtel Dieu en temps normal.

Bref si vous voulez venir en voiture personnelle, vous serez pris dans d'immenses embouteillages qui cernent complètement l'agglomération. Faut le voir pour le croire. Et souvent les conducteurs des T.C.L. (la société de bus de la ville) choisissent cette journée pour faire des grèves sauvages. Les sauvages.

La colline de Fourvière en temps normal

Les corps se serrent, se poussent, se soutiennent l'un l'autre sans se connaître. Une année alors que je tenais une main de ma femme, un monsieur qui était devant moi m'a pris l'autre en croyant toucher celle de son épouse.

Aussi avons nous pris la décision de laisser la ville aux étrangers. Et je vous jure qu'ils viennent de tous les coins du monde depuis longtemps.

Je vous laisse donc contempler le spectacle à loisir, bien calé sur votre chaise d'ordinateur. bonne visite sur : http://www.lyon-photos.com/fete-des-lumieres/

Merci à Francoise pour le lien que j'ai trouvé chez elle.

Et a très bientôt.

07 décembre 2009

A chat nain-nain !!!

A vos souhaits

Un mal qui répand la terreur,
Mal que le Ciel en sa fureur
Inventa pour punir les crimes de la terre,
La gripp'A (puisqu'il faut l'appeler par son nom)
Capable d'enrichir en un jour l'Achéron,
Faisait aux gens la guerre.
Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés :
On n'en voyait point d'occupés
A chercher le soutien d'une mourante vie ;
Nul mets n'excitait leur envie ;
J. de la Font.

Il advint qu'en ces jours nous toussâmes en concert
Nos membres engourdis de sournoises douleurs
nous prîmes décision de consulter l'expert
en quelques mots, bref, d'aller voir le docteur.



mon fil ma femme et moi fûmes alors convaincus
que la grippe ou le rhume nous avait donc vaincus
Esculape prescrit force médicament
pour nous voir à nouveau rétablis prestement.




On nous remit des masques en guise de parures
et pour nous redonner belle allure
on nous donnât force médicaments
à prendre en guise d'aliment.

Efféralgant : pour contrer les douleurs.
Advil : pour faire bonne figure
Tussidane : pour amenuiser la toux
Coquelusédal : pour aider Tussidane
amodex : au cas où................

En conclusion :

Notre état grippal ayant été pris à temps, il fut inutile d'abattre les poulets survivants.

C'est grave docteur?

maintenant nous allons mieux et les miens ont repris le chemin du travail ou des études.